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 Asmodée Zelgius, le dernier né

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AuteurMessage
Asmodée Zelgius
Fondateur de TB
Asmodée Zelgius


Messages : 265
Origine : Paris
Amour : Zéro, plutôt amitié :-)
Age : Euh... 30 ?

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MessageSujet: Asmodée Zelgius, le dernier né   Asmodée Zelgius, le dernier né Icon_minitimeVen 20 Aoû - 20:37

Nom : Asmodée (ou "Tan")

Prénom : Zelgius

Âge : Plusieurs milliers d'années ! mais chut ! La vérité est un secret, et son âge source de rumeurs farfelues !

Orientation : Aucune, ou bisexuelle alors

Originaire de : Erret, ???

Année d'étude à TB-Thélème : Directeur et fondateur

Psynergie :
-Vue et toucher (4)
-Force physique (4)
-Maitrise de la terre (4)
-Maitrise du feu (4)
-Invocation des êtres vivants (4)
-Télépathie (4)

Rituel : 125/240 PR
-Flux(10)
-Luna(10)
-Nosferatu(10)
-Eclipse(20)
-Lévi'objet(1)
-Rond'objet(2)
-Bal'objet(3)
-Jurme(10)
-Rosaire(7)
-Neurologie(30)
-Maeglin(4)
-Dai zainan(3)
-Hautvoix(5)


Histoire : Zelgius a toujours eu de l'admiration pour son frère Azael, quelle que soit la période de sa vie. Tant que leur mère était là, il la secondait en lui apprenant des choses différentes que celles enseignées sagement par sa mère. Mais étant le plus jeune, il voulait se faire une place dans sa famille. Tan, comme sa mère l'appelait, était la tête brûlée de la fratrie. Son comportement impulsif le mena tant de fois si près du danger et de la mort que ses pouvoirs ne tardèrent pas à se manifester. Cette familiarité exagérée avec la psynergie rendit son autre frère, Jan -alias Rynn Din-, terriblement jaloux. Une rivalité s'instaura entre les deux et Zelgius le battit à tous les jeux qu'ils faisaient pour comparer leurs talents. Quant à ses soeurs... Zelgius se souvient encore de la jalousie qu'elle entretenait envers Azael et sa relation avec leur mère, qui l'emmenait toujours à part pour lui enseigner on ne sait quoi. Ceci mis à part, elle incarnait la beauté de la féminité, la chaleur de la bienveillance. Zelgius se sentait toujours bien avec elle. La plus jeune soeur, toujours sous l'aile de sa plus grande soeur, était fougueuse, imaginative, pleine d'énergie et d'humour, jamais sérieuse en réalité. C'était elle qui titillait la maigre partie du cerveau de Zelgius qui n'avait pas brulé !
Mais cette époque joyeuse lui a toujours semblé trop courte. Leur mère quitta le monde qu'elle avait créé sans en expliquer la raison à ses enfants, pour laisser l'avenir de ces terres dans les mains des créatures qu'elle avait créé, dans l'espoir que ses enfants les guideraient sur la bonne voie. Une raison que Zelgius ne supposa avec justesse que bien des années plus tard.
Azael fut le plus marqué par la disparition de leur mère. Cela ne l'empêcha pas de veiller sur Zelgius... Et Zelgius uniquement. Rynn fuyait à présent sa famille pour s'isoler, les deux soeurs s'occupaient l'une l'autre. Zelgius était plus affecté par le retrait de ses frères et soeurs que par le départ de leur mère, et il faisait tout son possible pour entretenir les liens entre eux, niant la solitude qui grandissait en lui. Il se disait chanceux d'apprendre de son grand frère Azael, d'avoir cette rivalité avec son autre frère, des moments affectueux avec sa grande soeur ou complètement fous avec la plus jeune. Cette naïveté, Zelgius l'entretient encore à être aussi optimiste. Rynn Din entretenait une rancoeur et une jalousie sans nom envers ses deux frères, un mépris et une indifférence aberrante envers ses deux soeurs. Il tua ces deux dernières pour se convaincre de sa toute puissance, et s'en pris aux frères. Azael le tua. Ces 3 âmes iraient se réincarner bien loin, dans le corps d'un humanoïde. Cet évènement bouleversa Zelgius. Il demeura à peine un ou deux jours avec Azael avant de décider tous deux de se séparer. Ce fut le début d'une nouvelle vie pour le jeune mystique. Celui qui autrefois était si fier d'être un hériar, ne savait plus quoi penser. Zelgius la tête brulée n'était plus. Il recherchait à présent de la sagesse et échangeait ses désirs guerriers pour de la réflexion. Il erra un moment, essayant de retrouver ses frères et soeurs réincarnés, car il savait dans son coeur que leur âme n'était pas morte. C'est ainsi qu'il vit les humains pour la première fois de sa vie. Ils ressemblaient tellement aux hériars ! Un physique si semblable au leur, des familles et des relations sociales, et en leur présence, il avait tellement honte d'être un hériar quand il pensait à ce que son frère avait accompli, et l'idée qu'il continuerait à vivre en souhaitant sa mort et celle de son frère, Rynn ne méritait pas de continuer d'exister ! Pourquoi ne pouvait-il pas crever comme toute autre créature !? Quelle honte s'accaparait-là de son être ? Ne pouvait-il pas être, par exemple, l'une de ces créatures humbles de constitution qu'il venait de rencontrer ? Il ne tarda pas à se dire, à force de les cotoyer : "Tiens... Elles expriment les mêmes sentiments forts que moi...", de si nombreuses personnes ressentaient des émotions. Comme lui.
Il demeura plusieurs années avec ces nomades, découvrant un peu plus des humains et du monde chaque jour. Il nourrissait encore en secret l'espoir de retrouver ses soeurs, même s'il sentait que ce serait très différent de ce qu'il avait connu... Lorsqu'on remarqua qu'il ne vieillissait pas comme les hommes, les nouvelles générations le traitèrent avec mépris, et il fut chassé de la tribu nomade. Il fut triste de voir que les humains avaient une vie si courte, et qu'on ne pouvait leur enseigner suffisamment de choses pendant ce laps de temps pour être plus indulgent avec les autres créatures. Par ailleurs, s'il y avait bien une chose qui l'avait choqué, c'était le fait que les humains mangeaient des animaux. Ils étaient capable de ressentir les mêmes sentiments d'indulgence, de pitié, ils pourraient se contenter de plantes, de légumes, de fruits ! Que les animaux mangent les animaux, c'était une chose, mais que les humains le fassent... il fut soulagé plus tard, bien plus tard, de constater que les elfes n'en mangeaient jamais. Pour la plupart du moins.
Son errance reprit de plus belle. Pourtant, bien assez tôt, alors qu'il était à la poursuite de nouvelles connaissances sur les créatures peuplant la planète, il rencontra sa soeur, Han, vous savez, la plus vieille des deux soeurs. Elle vivait parmi une autre tribu de nomades, et les traits qu'elle arborait à présent étaient totalement différents. De la tristesse mêlée à de l'indifférence l'emplit alors. En se joignant au groupe de nomade, il remarqua qu'elle n'avait pas de souvenir de lui, à son grand étonnement. Mais à force de désirer le retour de sa mémoire, il développa ses pouvoirs télépathiques, avec en mémoire quelques conseils donnés par Azael pour s'y exercer. Il finit par découvrir comment débloquer la mémoire d'un hériar et manipuler celle d'un humain. Ainsi retrouvée, il se sentit bien plus proche d'elle à présent, même si le sentiment d'inconfort persistait. Zelgius comprit qu'il ne retrouverait jamais les relations d'autrefois avec ses deux soeurs, et encore moins avec son frère. Le destin amena la tribu de sa soeur et lui-même à rencontrer Rynn Din dans la peau d'un puissant sorcier. Ses souvenirs étaient déjà éveillés.
- Mon frère, ma soeur.
- Jan ! répondirent en chœur les deux hériars.
- J'espérais... bien vous retrouver, en réalité. Pour tester mes nouveaux pouvoirs sur vous. Voyez plutôt.
La tribu qui avait recueilli Han mourrait sous l'impulsion du meurtrier, une simple lame d'air avait suffi à les couper. La rage gagna Han, qui déclencha un duel avec lui, puis son frère s'engagea dans la bataille. Ce combat modifia le paysage à jamais. Lorsqu'il rendit son âme au vent, Zelgius le pris en pitié. Il se rendit compte que son frère était destiné à être l'ennemi de 3 hériars, et à subir l'indifférence d'Azael. C'est cela qui avait permis la rencontre entre Han, Tan et Jan.
Frère et soeur se séparèrent. Plus tard, Zelgius fit la rencontre d'un voyageur esseulé dans la plaine, qui s'exerçait à la psynergie. Il le prit rapidement en sympathie, et lui enseigna ce qu'il savait des psynergies. Cet homme fut le premier qui suscita réellement de l'excitation et toute une flopée de nouveaux sentiments positifs chez lui. Ils traversèrent des villages,( astucieuse idée qu'ils avaient trouvé là, les humains), ils apprirent à retirer de chaque rencontre avec quelqu'un une source d'enrichissement, ce qui les rendait tous intéressants alors ! Ils voyagèrent un long moment, ensemble, ce permit à Zelgius de voir grandir son intérêt pour les humains. Ils firent la connaissance des elfes, que Zelgius trouva tout d'abord bien étonnants et plus proches des hériars que les humains dans leur relation avec la nature. Cet homme, son premier et meilleur ami, portait un rêve en son coeur, qu'il révéla un jour à Tan, ce qui troubla Zelgius, qui découvrait l'espoir d'un homme et son objectif. Et leur aventure continuait, et le temps passait, affectant son ami uniquement. Il vint un jour inévitable où sa vie courte d'humain se termina. Zelgius entra dans un profond désespoir. Il se maudissait d'être hériar, de ne pas connaitre de fin à son existence alors que toute autre créature terminait un jour sa "vie". Ce furent les mots simples d'une vieille dame qui assista de bout en bout aux funérailles grandioses de l'ami, quelques semaines après sa mort qui lui redonna l'espoir. "Il est mort mais il existe encore, il est là, dans votre coeur, jeune homme." Cette justesse permit à Tan de faire le deuil de son ami. En sa mémoire, il porta un nom mêlé du sien et de celui donné par sa mère. Son prénom serait celui de son ami : Zelgius. Son nom signifierait le dernier né dans sa langue natale, le primordial dans la langue qu'employait son ami : Asmodée. Il ne fit pas que ça. Il s'appropria le rêve de son ami. Bâtir une cité pour les gens capables d'utiliser la psynergie. Qu'il en soit ainsi !
Il voyagea encore longtemps, rencontrant de temps à autres son frère Azael, qu'il était toujours heureux de voir, recherchant en même temps des mystiques qu'il enverrait alors à Tesdion pour qu'ils se regroupent et forment la première communauté de mystiques. Mais son but premier était pour l'instant de trouver un lieu qui conviendrait à la fondation d'une ville. C'est au gré de ses pérégrinations qu'il trouva au pied d'une chaine de montagne une grotte. Un sentiment étrange et fort l'envahit. Il ressentait là de nouvelles affinités de la psynergie. D'ailleurs, elle était très présente à cet endroit là. Il passa un long moment à décortiquer ce changement dans la psynergie environnante. Sa passion dévora le temps. Il finit par mettre au point le portail qui le mena vers la terre. Il le traversa bien sûr, et découvrit ce monde différent, où les hommes étaient omniprésents. Peut-être n'étaient ils pas des êtres créés par la déesse après tout. Peut-être les hériars avaient étés conçus à leur image et non le contraire comme ils l'avaient toujours pensé.
Première constatation : Ici, Zelgius ne pouvait pas utiliser la psynergie.
Deuxième constatation : Ici, Zelgius pouvait mourir.
Il y avait pourtant quelques liens avec Erret, en dehors du portail... Il pouvait ressentir le potentiel psynergique d'une personne, où quelle soit sur la planète. Il y en avait de nombreux, et il sentait qu'elles étaient plus capables que la plupart des mystiques d'Erret. Riche de cette nouvelle connaissance, il retourna sur Erret, où il rencontra Azael qui l'avait vu sortir de ce portail. Zelgius le scella derrière lui, puis alla saluer son frère. Ce dernier à la vue de la découverte de son frère s'empressa de démarrer le scellage de la mémoire de Zelgius, ce qui l'amena par la suite à passer plus de temps encore sur terre. Et chaque fois qu'il revoyait Azael, il aggravait encore son cas, mais son rêve était intact. Il l'accomplissait, même. Un petit village se forma autour du portail, un village peuplé de mystiques de la terre uniquement. Mais bientôt la rumeur atteindrait la communauté de Tesdion, qui s'empresserait d'agrandir Tsirojas Balzen, dérivé du nom que Zelgius lui donna dans un premier temps, ainsi "Les mystiques créant la cité d'un rêve" devint ou "Mystiques rêvant la cité créée" ou "Rêver de mystiques créant la cité" ou un truc du genre, plus personne aujourd'hui ne saurait traduire "Tsirojas Balzen" tant son sens a dévié, tout comme tout le monde a oublié le véritable nom d'origine de la cité des mystiques.
Zelgius s'attacha à la terre et à ses habitants, malgré toutes les déceptions que ce rapprochement engendrait... Zelgius sentait au fond de lui qu'il avait été désigné par sa mère dans ce but précis. Mener la race humaine, inconsciente et ignorante, vers une stabilité et une puissance digne de l'intérêt que la déesse avait porté à cette race.
L'invention préférée de Zelgius, créée par les terriens : la porte.
Sa première place officielle sur cette planète était donc liée aux portes. Il se forgea un nom en chine en créant des portes. Étrangement, seuls les forts raffolaient de ses portes massives. Il finit par faire faillite. Après un peu de réflexion, il se dit que confectionner et vendre des portes n'était surement pas le meilleur moyen de mener l'humanité vers ce beau futur qu'il avait en tête. Même comme point de départ. Il s'essaya à plusieurs métiers. Il trouva sa voie dans l'enseignement, après tout, c'était la seule chose qu'il savait bien faire, et ce depuis sa rencontre avec son ami homonyme. Bien sûr, sa vie sur terre ne fut pas qu'une succession d'actes ridicules. Il dut faire la guerre une fois, pour le Japon en plein âge féodal. Il en retira une profonde cicatrice dans le dos et une aversion encore plus terrible pour cet acte barbare et stupide. Pourtant, Zelgius appréciait vivre sur terre, entouré de tous ces humains. Il se sentait des leurs. Il pouvait se prendre pour un humain. Bon, jamais bien longtemps au même endroit, mais tout de même.
Pendant ce temps, sa cité grandissait, et devenait plus puissante, plus sure, malgré le changement de comportement des monstres. Les nomades sur Erret disparaissaient peu à peu et les hommes se regroupaient dans des cités. Pendant quelques temps, il dut apparaitre plus souvent sur Erret, et dégager l'espace autour de la cité et les routes vers les autres cités. Mais à mesure qu'Azael venait, il se trouvait moins d'obligations sur Erret, et plus sur terre. C'est lorsque l'âge industriel débuta que Zelgius put créer sa firme TB qui grandit jusqu'à devenir ce qu'elle est aujourd'hui, c'est à dire une grande société regroupant autour d'un système éducatif réputé de nombreuses autres occupations.
Ceci dit, cette réussite sur terre allait contrastant avec les évènements sur Erret. Azael finit par couper tout lien entre sa mémoire et sa véritable histoire, ses origines, rendant Zelgius totalement inoffensif. C'est à ce moment que les mystiques disparurent, en annonçant silencieusement le déclin de la cité. Malgré tous les efforts de Zelgius employés dans la recherche des mystiques, de la découverte de la vérité et du sinistre désastre qui allait affecter la cité, plus rien ne pouvait empêcher Azael Maldir et Rynn Din de détruire la cité avec des monstres qu'ils avaient appris à apprivoiser au cours des siècles. Tout avait été fait pour empêcher Zelgius de devenir assez suspicieux, tout avait été fait pour réduire les défenses entourant le portail à pratiquement rien. Si à présent il a recouvré l'intégralité des ses pouvoirs et sa mémoire, ce qui a par ailleurs permis la sauvegarde de la cité, Zelgius ressent le poids de sa naïveté peser sur lui. Sa culpabilité est incontestable et les habitants de la cité, bien qu'ignorants, sont en droit de blâmer Zelgius.


Caractère : Si Azael lui reproche d'être trop humain, Zelgius lui reproche d'être trop hériar. Et personne encore n'incarne ce juste milieu. D'un naturel très (trop) optimiste, il a tendance à être un brin trop crédule et naïf, ce qu'il arrangerait surement en s'affirmant plus comme hériar.
Zelgius parait assez généreux au premier abord mais il lui arrive bien trop rarement de donner simplement pour ce plaisir là. S'il est aussi généreux avec les citadins blancs aujourd'hui, c'est qu'il veut se faire pardonner, s'il a appris aux humains la psynergie, c'était pour voir leurs limites de ses propres yeux puis profiter de leur puissance pour l'aider dans sa quête, ou bien s'il s'engage envers quelqu'un, c'est qu'il espère une contrepartie plus importante. Certes, il vit pour aider le monde et non pas pour son propre compte mais cela est inscrit dans ses gènes et son cerveau depuis trop longtemps pour qu'il commence tout à coup à se soucier uniquement de lui. C'est le destin que lui a réservé la déesse.
La patience connait Zelgius, il a acquis une certaine capacité de compréhension, mais il sait que la vie d'un homme est courte alors il a tendance à être assez exigent avec ses disciples et les gens sous ses ordres. Cela étant, il n'est pas arrogant pour un sou, sauf peut-être lorsqu'il s'emporte dans la fièvre d'un combat, il devient alors assez agressif, restes de sa jeunesse belligérante. En dehors d'un combat, il demeure paisible et attentif. Zelgius ne semble pas assez sensible pour être bouleversé par la mort, mais il est plutôt question pour lui d'y être trop habitué et trop têtu pour s'y attarder. Ne croyez pas pour autant qu'il considère les êtres humains comme de la chair à canon. Il considère l'individu, pas le nombre, il respecte les différents raisonnements que les humains peuvent avoir ou le fait que la plupart d'entre eux sont incapables d'utiliser la psynergie. N'oubliez pas que les premiers humains que Zelgius a rencontré n'utilisait pas la psynergie, ce qui ne l'a pas empêché de les adorer. Pour ces raisons, il n'est pas du genre manipulateur, mais charmeur, il préfère persuader que convaincre, tout en connaissant les cartes qu'il a en mains quand il s'agit de convaincre. Il ne se limite pas à si peu.
Il arrive à Zelgius de déconnecter complètement son esprit de ses préoccupations, et alors il fabrique des maquettes, cherche des nouvelles portes, crée des rituels (inutiles ? Nannn), ou médite en compagnie des essences élémentaires, écoute leur plainte et les souffrances des bêtes contrôlées qu'on lui rapporte.
Il tient toujours ses promesses, si bien qu'il a inventé un rituel qui permet de se souvenir de ses promesses !


Physique : Il n'est pas d'hériar qui ne soit pas doté d'un physique plaisant. Zelgius a retrouvé son état d'antan, il a retrouvé une partie de sa beauté volée. Il respire d'une énergie nouvelle, et malgré tous les sombres évènements qui se sont produits, lui resplendit de la même manière que son frère Azael, c'est à dire d'une teinte de pureté, due à leur condition d'hériars originels.
Zelgius mesure un peu plus de 190 cm, et possède une musculature discrète, le rendant parfaitement élégant avec des vêtements, et non grossier heureusement. Mais cela peut changer drastiquement s'il décide d'activer son pouvoir de force surhumaine. Il possède quelques cicatrices héritées des combats et des guerres dans lesquelles Zelgius s'est impliqué, sur terre.
Son regard est doux et empreint de sa sagesse, son expérience, d'un brun profond, ou bien d'un rouge chaleureux, dans d'autres cas de vert étincelant. Les maitrises élémentaires sont un véritable casse-tête ! Ses cheveux restent bruns, eux, mais leur disposition change très souvent. Actuellement, il ne s'en préoccupe plus, si bien qu'ils continuent de pousser et qu'ils vagabondent de désordre en désordre. Pourtant, peu importe la longueur de ses cheveux, l'état de sa barbe, il reste beau et demeurera beau...
Cependant, pour pouvoir exercer son charme au mieux, il adaptera toujours son apparence à la personne ciblée. La barbe de trois jours, les cernes, les cheveux qui n'ont pas étés lavés depuis une semaine, ça inspire rarement la confiance et la sympathie.
Depuis la bataille que Zelgius a nommé "le cri des remparts", il ne porte pratiquement plus que des vêtements de sa cité dont l'élément central est un long manteau blanc, descendant jusqu'au genoux.
La voix de ténor qu'il possède ne lui sert malheureusement pas au chant, mais souvent à rassurer, conseiller, ordonner. Elle apaise.


Autre chose à ajouter ? Monsieur parfait est un maitre en plusieurs arts (instrumentaux, martiaux, danse,...) Il sait tout faire, puisqu'il est parfait 8-)

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