Fin d'une bonne aprem... [PV : Aloriel Eliandor] (+16)

A peine Aloriel et Maya furent téléporté dans la chambre de Maya, que cette dernière avait déjà fait disparaître ses vêtements et se jetait déjà sur Aloriel, le renversant d’abord sur son lit, puis l'embrassant fougueusement en se collant contre lui. Elle lui enleva rapidement sa chemise, et écrasa sa poitrine contre son torse en lui donnant un baisé torride. Elle retira quelques secondes ses lèvres de celles d'Aloriel.



Notre façon de partir n'était certes pas très poli, mais au diable la politesse, je ne tiens plus! Fais moi l'amour!



Ne tenant vraiment plus, Maya n'y alla pas par quatre chemins. Elle désinvoqua le reste des vêtements d'Aloriel et recommença à l'embrasser, une main sur sa nuque, l'autre main... plus bas diront nous, exécutant un massage très vigoureux qui ne sembla pas déplaire à Aloriel. Le corps de Maya brûlait littéralement contre celui d’Aloriel. Maya retira ses mains d’Aloriel et s’allongea sur le dos.



Je te veux, en moi, maintenant!

Habitué aux téléportations et révocations en tous genres, Aloriel n'est même pas étonné de se retrouvé sur le lit de Maya, elle sur lui, sans aucun vêtements pour les gêner. Sur lui, il sent sa poitrine douce, pendant qu'elle l'embrasse. Quand elle s'éloigne, il sourit, avec un regard carnassier.

Notre façon de partir n'était certes pas très poli, mais au diable la politesse, je ne tiens plus! Fais moi l'amour!
Qu'importe ce qu'il pense!

Il est quand même un peu surpris quand il sent la main basse de Maya produire un effet aussi agréable et puissant sur lui. Son sourire rejoint son regard, et s'il le pouvait, il serait en train de la dévorer. Il râle quand elle arrête, et compense en se serrant contre elle. Elle est sur le dos, lui sur elle.

Je te veux, en moi, maintenant!

Il ne se le fait pas dire deux fois. Déjà bien placé, il n'a qu'à changer légèrement de position pour la contenter. Fou d'amour, de passion et d'envie, il ne peut pas ignorer la bête en lui qui réclame Maya. Soucieux du détail, il fait quand même son maximum pour que le plaisir de Maya soit aussi intense que le sien. C'est la première fois qu'il désire aussi fortement la jeune femme, qu'il a autant envie de se fondre en elle, bien plus que les autres fois. Il est sauvage, fort et ne réfléchit plus. Impossible d'expliquer pourquoi. Il donne l'impression de ne plus pouvoir ni vouloir s'arrêter.

Au bout d'un long, très long et agréable moment, Maya se retourna sur Aloriel qui était toujours en elle.

Laisse moi te donner autant de plaisir que tu m'en as donné.

Maya se mit à genoux sur Aloriel, et commença à bouger les reins, d'abord doucement, puis de plus en plus rapidement. Son corps s'il pouvait bruler, serait en flammes. Elle sentait sa température monter rapidement sans s'arrêter. Maya abaissa sa tête près d'Aloriel, prit sa tête entre ses mains et l'embrassa tendrement, tout en continuant ses mouvements de reins. Puis, ses mains glissèrent sur les bras, puis dans les mains d'Aloriel qu'elle serra. Maya se redressa en bougeant ses reins plus rapidement que jamais. Elle mit les mains d'Aloriel sur sa poitrine sans diminuer le rythme de ses reins. Elle continua ainsi pendant plusieurs quinzaines de minutes, se penchant de temps en temps pour embrasser Aloriel.
D'un seul coup, Maya arrêta de bouger. Son plaisir était arrivé à son apogée, et elle sentait que celui d'Aloriel aussi. Ils jouirent ensemble. Maya tomba alors sur Aloriel. Elle murmura, reprenant son souffle entre chaque parole.

Désolée, je n'en peux plus, on continuera demain

Maya glissa ses bras autour d'Aloriel et se blottit contre lui. Avant de s'endormir, elle envoya une lame d'eau qui trancha son réveil en deux.

Au moins, pas de réveil brutal

Laisse moi te donner autant de plaisir que tu m'en as donné.

Toujours en pleine action, Aloriel sourit. Allongé sur le dos, il plonge ses yeux emplis de désir dans ceux de Maya. Au rythme de ses reins, il sent l'endorphine faire son effet. Sur lui, Maya est de plus en plus chaude. Il aime sa façon de faire. Les baiser enflammés, tendres qu'ils échangent font monter sa fièvre et il est rapidement en chaleur intense. Les mais sur la poitrine de Maya, il ne peut s'empêcher de lui rendre son "massage".

il n'a aucune notion du temps, mais après un mouvement bien calculé de Maya, ils atteignent un plafond supérieur au septième ciel, et jouissent, ensemble. Il retient Maya quand elle lui tombe dessus, l'embrasse encore. Même quand elle murmure, elle lui fait de l'effet. Elle est aussi essoufflée que lui, et reprend son souffle plusieurs fois.

Désolée, je n'en peux plus, on continuera demain.
Ne t'excuse pas. C'était...

Il ne trouve pas d’adjectif suffisamment puissant décrire ce qu’il a ressenti, ce qu’il ressent encore. Il l’attire contre lui, la prend dans ses bras. Il sourit en entendant les deux parties du réveil par terre. Au moins, ils vont pouvoir faire la grasse matinée pour récupérer.

***

Le lendemain matin, appréciant un réveil calme bien après le chant du coq, Aloriel étouffe un bâillement, Maya dort encore contre lui. Sans la réveiller, il se lève, s’habille et descend aux cuisines. Quand il revient, les bras chargés d’un petit déjeuner complet, il vérifie qu’elle est encore endormie. Il dispose le plateau sur la table de nuit encore debout, et s’assied à coté de Maya. Il caresse sa joue, et descend son visage pour lui murmurer à l’oreille :

Le petit déjeuner est servi.

Avant de s’éloigner, il dépose un baiser sur son front.

Il n’a pas le temps de se déshabiller que Maya l’a déjà fait pour lui.

Je doute que Zelgius dise quoi que ce soit, il est absent, le golem étant muet et sourd, du moins je l’espère, nous laissera tranquille. Au pire le protégé de Mlle Auriel pourra se plaindre, mais vu son taux d’alcoolémie, et le fait qu’l n’ait pas tes talents, il va mettre plusieurs jours à cuver. Ce qui nous laisse un maximum de temps pour profiter.

Désormais adossé au jacuzzi, Aloriel passe ses bras autour de la taille de Maya et dépose un baiser dans son cou, avant de poser sa tête sur son épaule nue. Il rit lorsque le ventre de sa compagne crie famine, et s’apprête à se lever pour aller lui chercher à manger, lorsqu’elle l’empêche de se lever, et le garde contre elle.

Hors de question de sortir d’ici avant qu’on jouisse au moins une fois tous les deux!
Vos désirs sont des ordres majesté !

Attiré sous l’eau, Aloriel va chercher les lèvres de Maya et l’embrasse langoureusement. Il ne remonte à la surface qu’après, pour récupérer son souffle, avant d’exaucer le vœu de la jeune femme.

***

Quelques temps après, lorsqu’ils sortent du jacuzzi, il la porte jusqu’au lit et se sèche avant de sécher le corps de Maya. Il s’assied sur le lit et présente le plateau.

Ce doit être un peu froid depuis le temps, dis moi ce que tu veux, je le réchaufferais.

Pendant qu’il parle, ses yeux deviennent rouges, et les paumes de ses mains s’échauffent du premier choix de Maya, il sera prêt à la contenter. Il ne remarque même pas que c’est la première fois qu’il entend le ventre de sa bien aimée crier famine…

Pour la première fois de sa vue, Maya engloutit d'un trait le petit déjeuner que, habituellement elle évitait. Le matin elle avait rarement faim et d'ailleurs, elle n'avait que rarement faim. Un corps comme le sien ne vient pas avec trois repas complets par jour! Bref, après son repas, Maya s'allongea sur le lit, entrainant Aloriel avec elle. Elle commença à l'embrasser quand, quand, d'un seul coup, elle se redressa, poussa Aloriel et couru jusqu'à la salle de bain où elle eut tout juste le temps de se pencher au dessus des toilettes avant de vomir. Quand elle se redressa elle se brossa les dents et se fit plusieurs bains de bouche. La dernière fois qu'elle avait vomit, c'était lors de sa disparition. En plusieurs années de cuite, jamais elle n'avait vomit une seule fois.

C'est rien, ne t'inquiètes pas mon amour

Quand Maya se redressa, elle vit Aloriel dans l'encadrement de la porte, il avait l'air inquiet.

Ils ont dû cuisiner un truc pas frais aux cuisines, je dois avoir l'estomac fragile, c'est ri...

Maya eu un léger vertige et tomba. Aloriel la rattrapa avant qu'elle ne touche le sol.

Pff, je te préviens, si tu m'emmènes à l'infirmerie, je refuse de me faire tripoter par un médecin qui « soit-disant » m'examinera. Et je refus de me faire prendre une prise de sang, j'ai horreur des aiguilles.

Maya boudait. Elle savait que peu importe ce qu'elle disait, Aloriel l'emmènerait à l'infirmerie avec ou sans son accord et... Bah Aloriel était le seul point faible de Maya, impossible de lui résister. Maya céda donc, mais invoqua quelque chose.

Je prends la bouteille de saké pour la route.

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